Communiqués
Pagination
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
- 6
- 7
- 8
- 9
- › Page suivante
- » Dernière page
Brochure et dossiers de presse
Questions liées aux noms Cognacq, Jay et Cognacq-Jay
Vous vous posez des questions sur le lien entre la Fondation Cognacq-Jay et d’autres institutions, lieux, etc., auxquels les noms « Cognacq », « Jay » ou « Cognacq-Jay » sont ou ont été associés ? Voici les réponses aux questions les plus fréquentes.
Elle a été nommée ainsi en mémoire d’Ernest Cognacq et de son épouse Marie-Louise Jaÿ, fondateurs du grand magasin la Samaritaine.
Le nom de cette rue est surtout connu du grand public pour l'expression « À vous Cognacq-Jay ! » prononcée par les journalistes et présentateurs pour rendre l’antenne aux studios de la télévision française, installés dans cette rue de l’après-guerre à 1992.
Créé au lendemain de la Première Guerre mondiale par les époux Cognacq-Jay pour apporter une aide financière à certaines familles « nombreuses, nécessiteuses et méritantes », il est depuis de nombreuses années géré par le service des œuvres sociales de l’Académie française. Il n’a pas de rapport avec le Prix Fondation Cognacq-Jay lancé en 2016.
Prix pour lequel l'Institut de France a géré pendant plusieurs années la contribution financière de la Fondation. Il a été attribué de 1962 à 1972.
C’est l’un des musées de la Ville de Paris, qui a bénéficié du legs de la collection d’art privée des époux Cognacq-Jay après le décès d’Ernest Cognacq en 1928.
Il s’agit d’un musée créé à Saint-Martin-de-Ré, ville natale d’Ernest Cognacq, grâce à un don de celui-ci en 1907.
C’est un jardin botanique alpin que Mme Cognacq-Jay créa en 1906 dans sa ville natale de Samoëns. La direction scientifique du jardin est assurée depuis 1936 par le Muséum national d’histoire naturelle et qui y a implanté un laboratoire de recherche. Ce jardin exceptionnel de 4 hectares est actuellement la propriété de la commune. Il est l’œuvre de l’architecte paysagiste suisse, Louis-Jules Allemand.
Ce parc d’attraction, premier du genre en France, a été construit au début du XXe siècle par Ernest Cognacq. Il a disparu en 1926, lors du lotissement du quartier et de la création de la rue Cognacq-Jay.
Pour en savoir plus sur le lien entre les époux Cognacq-Jay et la Fondation Cognacq-Jay, consultez notre frise historique.